Où aller ? Que faire ?

Pour passer du temps avec ses enfants, il n’est pas nécessaire d’essayer de les amener dans des endroits spécifiques. Faire la cuisine ensemble pour la collation d’après-midi en préparant une recette familiale après avoir feuilleté un magazine est plus approprié. Après avoir choisi la recette qui convient à tout le monde, chacun s’occupe d’une tâche précise : préparer la surface du travail, sortir tous les ingrédients nécessaires, régler la température du four ou autres. L’important c’est que chacun participe et trouve la joie en réalisant ensemble le meilleur plat familial. Après la collation, se relaxer avec la pratique d’un jeu de société permet d’avoir un moment de détente qu’on termine avec un rangement en faisant le ménage ensemble.

Prendre du temps de qualité

L’importance du temps de qualité à passer avec les enfants est qu’il procure en eux un sentiment de bien-être. Cela ne requiert pas des sorties extraordinaires, mais seulement d’être disponible entièrement pour eux. Ce temps peut être un massage avant dodo, des chatouilles, un échange sur la journée au moment du dîner ou autres. S’il n’y a pas ce temps passé ensemble, l’enfant va se sentir en état d’insécurité favorisant le stress. Ce n’est pas la durée qui est importante, c’est surtout la présence des parents.

Un heureux événement

Tenir ce petit être dans vos bras, pour la première fois, vous a sans nul doute fait naître des sentiments, des émotions que vous n’avez jamais vécus et ressentis. C’est quelque chose d’incroyable ! Mais autant vous êtes heureux, autant vous pouvez vous sentir désemparé. Quelle lourde responsabilité qu’être parent ! S’occuper de cet enfant tous les jours de sa vie, veiller sur son alimentation, sa santé, sa scolarité, ses fréquentations, ce qu’il lit, regarde, écoute, l’habiller, etc., ce sont des missions auxquelles on n’échappe pas. De telles perspectives vous ont-elles effrayées ? Vous donnent-elles encore des nœuds au ventre encore aujourd’hui ? Oui, les rôles des parents n’est pas sans peine et les vicissitudes de la vie n’arrangent pas les choses. Comment faire face avec sérénité ?

Parlez, discutez, communiquez

La réussite d’une relation dit-on tient toujours dans la qualité de la communication entre les parties prenantes. Ce principe s’applique aussi entre vous et votre enfant. Vous devez faire de la communication une priorité dans votre famille. Aussi, dès que possible, même si votre enfant est encore très jeune, exprimez clairement vos valeurs. Le fait est que, si vous attendez trop, l’école, les camarades de classe, la télévision et autres médias se chargeront de remplir son esprit et son coeur de valeurs qui sont peut-être nuisibles pour sa santé morale, pour son bien-être et son épanouissement. Aussi, parlez fréquemment à votre enfant, le plus souvent possible, et profitez de chaque occasion pour lui inculquer de bonnes valeurs. Et autant que possible, veillez à lui expliquer en quoi ces valeurs sont bénéfiques. Puis, donnez l’exemple. Montrez par vos paroles, vos actions et votre attitude de tous les jours que vous croyez et défendez les valeurs que vous lui transmettez. Car l’exemple parle beaucoup plus que les mots, et vous le savez.

Aidez-le à réfléchir sur ses actes

A l’aide de faits vécus, peut-être même vos douloureuses expériences, faites réfléchir votre enfant sur les conséquences de ses actes, surtout s’il décide d’être désobéissant. Et vous-même, soyez conséquent avec l’éducation que vous lui prodiguez : ne le soustrayez pas aux mauvaises conséquences de ses bêtises. Ce seront de grandes leçons qu’il retiendra toute sa vie. En tant que parents, enseignez-lui que s’il cultive de bons traits de caractère, de bonnes habitudes. Apprenez-lui à se distinguer par de bonnes qualités, et qu’il soit connu pour être une personne gentille, douce, n’aimant pas les disputes, quelqu’un de généreux. Et une fois de plus, soyez d’excellents exemples sous ces rapports. Être de bons parents, c’est surtout éduquer vos enfants par votre propre exemple.

Demande d’altération définitive du lien conjugal

En cas de refus de divorce venant de votre partenaire, vous pouvez recourir à la déposition de requête en divorce ayant pour objectif d’altérer définitivement le lien conjugal qui vous, jusque-là, vous uni. Pour que votre demande puisse être recevable par le tribunal, il va falloir que vous prouvez que vous et votre mari n’entreteniez plus aucune une vraie relation de couple depuis au moins deux ans. Pour cela, la présentation des pièces attestant votre séparation est nécessaire. Il peut s’agir d’une quittance de loyer ou de témoignages des proches.

Demande de divorce pour faute

Le divorce pour faute est comme son nom l’indique, une alternative qui vous permet d’obtenir un divorce à la suite d’une ou plusieurs fautes commises par votre conjoint. Pour que cela fonctionne, il faudrait que vous arriviez à prouver que votre conjoint a commis une ou des fautes à l’encontre des droits et obligations du mariage comme l’infidélité, l’abandon du domicile familial ou encore le refus de participer aux charges du ménage. Bien entendu, il faut toujours que vous vous munissiez de preuves indéniables.

La séparation du corps

Si vous êtes dans l’incapacité de fournir les documents de preuves nécessaires pour la réalisation des deux précédentes alternatives, alors que votre conjoint est toujours réfractaire à l’idée de divorcer, vous pouvez opter pour la séparation du corps. Cela vous permettra de mettre un terme à votre vie conjugale en ne partageant plus le même foyer. Par contre, vous resterez toujours mari et femme aux yeux de la loi. En d’autres termes, votre séparation ne change en rien les droits et les obligations du mariage. Ce type de séparation peut aussi entraîner la séparation du bien, mais vous devez le faire à l’amiable. Si au bout de deux ans vous voulez toujours divorcer définitivement, vous pouvez obtenir plus facilement l’accord d’un juge pour une altération définitive du lien conjugal. Entre temps, vous pouvez aussi demander un divorce par faute si des fautes sont commises.  

Belle-mère belle-fille, éternelles amies !

Elle veut en tout temps se mêler de votre vie, elle donne son avis sur tout, elle conteste vos points de vue même si vous êtes certaine d’avoir raison, bref, le courant ne passe pas. Et vous êtes de plus en plus convaincue que les belles-mères et les belles-filles sont condamnées à être dans un éternel conflit. Mais ce n’est pas vrai ! Il est tout à fait possible de nouer de belles relations avec votre belle-mère, avec vos beaux-parents en fait, moyennant quelques efforts et parfois des sacrifices. D’abord, vous devriez accepter le fait que votre mari garde de l’affection et beaucoup d’amour envers ses parents, ce sont ses parents ! Ne vous révoltez pas contre ces liens du sang, il n’y a là rien que quelque chose de très naturelle !

Lorsque les sentiments entrent en jeu, tout est délicat

Voilà une autre vérité que vous devez affronter : lorsque le coeur entre en jeu, les situations peuvent un tant soit peu se compliquer. Les sentiments très forts que les parents de votre conjoint lui porte ne s’effaceront pas par votre volonté ni par votre amour, encore moins par la signature à la mairie. Et les liens entre un fils et une mère sont particulièrement solides. Donc, mettez-vous à sa place, à leur place, ils agissent peut-être d’une manière que vous désapprouvez, mais votre bonheur et votre bien-être leur tiennent à coeur. Ils ont probablement encore du mal à vous voir tous les deux comme un couple autonome, donnez-leur le temps de s’accommoder à la nouvelle situation.